
Parlons du travail invisible
Il faut d’abord reconnaître qu’il existe et qu’il est pratiqué par les femmes et les hommes de toutes nationalités.
Le travail des parents pour le bien-être de leurs enfants, des proches aidants, d’amis, de voisins, de bénévoles d’organismes communautaires, dans le milieu des sports, de la culture, des activités parascolaires ou religieuses, le travail des conjoints qui collaborent dans des entreprises familiales et autres commerces, et celui des personnes en stage non rémunéré, tout ce travail dit «invisible » permet à de nombreuses organisations et institutions tout comme aux gouvernements québécois et canadien de poursuivre leur mission en minimisant leurs coûts.
Ce travail se doit d’être reconnu socialement et paraître en annexe au PIB puisqu’il équivaut à des milliards de dollars. Il est primordial qu’il soit reconnu.
Commençons à travailler ensemble dès maintenant en allant lire et signer le manifeste disponible au www.travailinvisible.ca afin de faire enfin reconnaître le travail invisible.
Le conseil d’administration de l’Afeas locale Granby