Plusieurs femmes de notre grande région sont des femmes de tête, à la fois inspirantes et déterminées. Nous vous en présentons ici six d’entre elles, reconnues dans leur milieu respectif, qu’il s’agisse de sport, des affaires, de culture ou de communautaire. Bonne lecture !

Catherine Degrange a commencé à s’intéresser pour la peine au football lorsque son fils Noah a intégré le programme de football des Incroyables de l’école secondaire J.-H.-Leclerc il y a une dizaine d’années. Parce qu’elle ne manquait aucune séance d’entraînement et aucun match, les gens de l’organisation ont commencé à lui demander de petits services à l’occasion.

C’est un euphémisme: Nathalia Guerrero Vélez a vu du pays.

La sculpteure et céramiste Nicole Côté brandit haut et fort l’étendard de la création artistique. «Je sais que les artistes ont besoin d’aide. J’ai toujours compris ça», dit la présidente d’Arts et de rêves, à Sutton, en Estrie. Pour cela, elle leur offre un lieu unique dédié à leur épanouissement créatif.

Qui a dit que les sciences et les technologies de pointe sont l’apanage de la gent masculine? La présidente-directrice générale du C2MI, Marie-Josée Turgeon, confond les sceptiques. Femme de tête, elle guide sans relâche les troupes du centre de recherche en microélectronique de Bromont vers de plus hauts sommets.

À 24 ans et enceinte de huit mois, Caroline Fontaine a eu une idée assez folle : développer la culture du raisin de table au Québec. Treize années plus tard, il reste du travail à faire, mais la Granbyenne a le vent dans les voiles.

Julie Girardot, propriétaire du complexe funéraire Girardot & Ménard situé à Granby a été l’une des premières femmes au Québec à prendre la relève de son père dans un domaine longtemps réputé patriarcal.