Cette année marque le 70e anniversaire de la sortie du film La loi du silence (I Confess), tourné dans la capitale par l’illustre réalisateur Alfred Hitchcock. Le film sera célébré au Clap de Sainte-Foy ce dimanche, dès 14h, lors d’une projection spéciale en compagnie de Renée Hudon, qui a participé à la production alors qu’elle était enfant.
CRITIQUE / Qu’elle est bien nommée cette comédie noire de Kevin T. Landry. Avec Jour de merde, le cinéaste nous convie dans le cauchemar d’une mère monoparentale poussée dans ses derniers retranchements. Un film qui marche habilement sur la ligne entre l’humour et le suspense.
CRITIQUE / À mi-chemin entre la comédie romantique et une réjouissante histoire de crime fomenté en famille, L’innocent de Louis Garrel surprend par son scénario et se déguste comme une rafraîchissante ode à la deuxième chance.
CRITIQUE / Sur le fond d’une déclaration d’amour à la musique classique, Bruno Chiche signe avec Maestro(s) un bel hommage à une relation père-fils imparfaite, mais solide, incarnée par Yvan Attal, Pierre Arditi.
Il y a de ces matins où on aurait mieux fait de rester au lit. Le film Jour de merde de Kevin T. Landry en offre un splendide exemple en nous conviant dans le cauchemar d’une mère monoparentale. Un long métrage que le réalisateur décrit comme «une lettre d’amour décalée» aux femmes qui s’en mettent trop sur les épaules et un «doigt d’honneur» à la vie qui ne leur facilite pas la tâche.
Le film de super-héros Shazam! La Rage des Dieux s’est hissé pour sa sortie en tête du box-office nord-américain, selon les estimations dimanche du cabinet spécialisé Exhibitor Relations, mais les analystes ont qualifié sa performance de décevante.
L’acteur Sam Neill, célèbre pour son rôle du paléontologue Alan Grant dans la tout aussi célèbre saga du Parc jurassique, a révélé dans ses mémoires à paraître la semaine prochaine être traité pour un cancer du sang de stade 3.
En tournant Notre Dame de Moncton, son deuxième long métrage en carrière, Denise Bouchard a voulu porter un regard empathique et sans jugement sur l’autre, à travers le geste, la parole et l’image. La réalisatrice acadienne s’attarde ici au destin de deux femmes que tout sépare, mais qui, ensemble, trouveront l’apaisement.
En tournant Notre Dame de Moncton, son deuxième long métrage en carrière, Denise Bouchard a voulu porter un regard empathique et sans jugement sur l’autre, à travers le geste, la parole et l’image. La réalisatrice acadienne s’attarde ici au destin de deux femmes que tout sépare, mais qui, ensemble, trouveront l’apaisement.
CRITIQUE / La première scène de 33 tours, nouveau long métrage du cinéaste torontois Clement Virgo, résume bien le cœur de son récit : deux frères escaladent dans un bourdonnement menaçant un pylône électrique.
CRITIQUE / Avec La cordonnière, François Bouvier propose un mélodrame classique, mais très beau, bien épaulé d’une direction artistique soignée. À l’avant-scène d’une distribution où évoluent plusieurs visages connus, Rose-Marie Perreault incarne avec une présence envoûtante celle qui a été une pionnière à plus d’un égard.
CRITIQUE / Dans les premiers temps de la pandémie, la situation catastrophique qui sévissait dans les CHSLD et les résidences pour aînés défrayait la manchette au quotidien. Entre le savoir et le voir, il y a tout un monde de résonance que le cinéaste Denys Desjardins expose de manière à la fois bouleversante et révoltante dans son nécessaire documentaire J’ai placé ma mère.
À sa 12e présentation, le Festival de cinéma en famille de Québec a rallié quelque 10 500 petits et grands cinéphiles pendant la semaine de relâche au Clap. Les œuvres Dounia et la princesse d’Alep et Katak, le brave béluga ont particulièrement retenu l’attention du jury et du public rassemblé pour l’occasion.
L’audience des Oscars a augmenté pour la deuxième année consécutive, avec 18,7 millions de téléspectateurs qui ont suivi en direct le triomphe de la comédie déjantée «Tout, partout, tout à la fois», a annoncé lundi la chaîne de télévision ABC.
La comédie déjantée Tout, partout, tout à la fois a fait une razzia sur les Oscars dimanche, en remportant sept prix majeurs dont ceux du meilleur film et de la meilleure actrice pour son héroïne Michelle Yeoh, première comédienne d’origine asiatique à recevoir la récompense suprême.
Le terrifiant Frissons VI a fait peur à Creed III et pris la tête du box-office nord-américain, avec 44,5 millions de dollars US de recettes le week-end de sa sortie, selon les estimations dimanche du cabinet spécialisé Exhibitor Relations.
La déferlante promise aura-t-elle lieu? Les Oscars s’ouvrent dimanche avec un ultra-favori bien peu orthodoxe: Tout, partout, tout à la fois, une comédie déjantée où s’entrecroisent un trou noir en forme de bagel et des jouets sexuels utilisés comme nunchakus.
Les Oscars tourneront autour de deux grandes questions dimanche: une comédie complètement déjantée, avec des hot dogs en guise de doigts et une obsession pour les plugs anaux, peut-elle vraiment remporter la statuette du meilleur film? Et sinon, quelqu’un se prendra-t-il une autre baffe?
Le grand écran sourit doublement à Rose-Marie Perreault ces jours-ci. L’actrice tient l’affiche dans deux films où elle est appelée à incarner des femmes aux destins bien différents, mais captivants chacun à leur manière.
CRITIQUE / Il y a quelque chose d’à la fois fascinant et effrayant à se replonger dans l’histoire du meurtrier Donald Lavoie sous la lentille du cinéaste Raymond St-Jean. Dans Crépuscule pour un tueur, Éric Bruneau campe avec une précision nerveuse cet homme qui a assassiné de sang-froid une trentaine de personnes avant de devenir délateur.
CRITIQUE / Avec AsBestas (Les bêtes), Rodrigo Sorogoyen signe un suspense rural d’une redoutable efficacité. Denis Ménochet et Marina Foïs excellent dans la peau d’un couple pris dans une spirale de violence avec leurs voisins.
Daniel Roher, réalisateur du documentaire sur Alexeï Navalny, en nomination aux Oscar, assure qu’il est beaucoup plus intéressé à garder en vie l’opposant russe emprisonné qu’à faire la promotion de son film.
Après un gala qui a davantage fait parler de lui l’an dernier à cause de la disgracieuse gifle assénée par Will Smith au présentateur Chris Rock, le cinéma retrouvera-t-il le centre d’attention à la cérémonie des Oscars présentée dimanche soir? Alors qu’Hollywood prépare sa 95e grand-messe, présidée cette année par l’animateur Jimmy Kimmel, survol des 10 prétendants à la convoitée statuette du meilleur film.
Le film de boxe Creed III a assommé la concurrence dans les cinémas nord-américain ce week-end, engrangeant 58,7 millions de dollars US pour l’un des meilleurs débuts d’un film de sport dans l’histoire du box-office.
CRITIQUE / Premier film de la franchise Rocky ne comptant pas sur la présence de l’illustre boxeur et de son célèbre interprète, Sylvester Stallone, Creed III reste fidèle à l’esprit de la maison. Derrière et devant la caméra, Michael B. Jordan applique un plan de match connu, en y ajoutant quelques punchs visuels originaux.
Un peu plus de sept mois après Confessions de Luc Picard, un nouveau long métrage nous amène sur les traces d’un assassin qui a véritablement sévi au Québec dans les dernières décennies. Signé par Raymond St-Jean, Crépuscule pour un tueur donne l’occasion à l’acteur Éric Bruneau d’incarner Donald Lavoie, auteur de près de 30 meurtres pour la pègre montréalaise.
CRITIQUE / Avec Frontières, Guy Édoin signe un drame haletant sur fond de deuil et d’une aura de surnaturel. Pascale Bussières nous happe dans une incarnation complètement investie d’une mère qui a perdu ses repères.
Le réalisateur suédois Ruben Östlund, deux fois lauréat de la Palme d’or, sera le président du jury du 76e Festival de Cannes, qui se tiendra du 16 au 27 mai sur la Croisette, cinquante ans après sa compatriote Ingrid Bergman, ont annoncé mardi les organisateurs dans un communiqué.