Dans une requête déposée récemment devant la Cour fédérale, Me Lawrence Greenspon (photo) fait valoir que la décision d’Ottawa de refuser d’aider cette femme à rentrer au Canada la condamne à être détenue pour une durée indéterminée à l’étranger, ce qui équivaut à la forcer de vivre en exil.

L’avocat d’une Québécoise qui est détenue dans un camp en Syrie avec ses six enfants se tourne vers les tribunaux pour forcer le gouvernement fédéral à la rapatrier au pays.