Madeleine Jean Mercier et Denis Mercier dénoncent le fait qu'ils n'aient été informés de la disparition de leur fils que neuf jours plus tard. (STÉPHANE LESSARD, LE NOUVELLISTE/STÉPHANE LESSARD, LE NOUVELLISTE)
Un peu plus et ils apprenaient la disparition de leur fils dans les médias. C’est ce qui est arrivé à un couple de Shawinigan-Sud qui n’a su que neuf jours plus tard que leur fils, qui vit avec des problèmes de santé mentale, n’était toujours pas rentré à la résidence supervisée où il doit coucher tous les soirs le temps de reprendre sa vie en main.