Des parents informés de la disparition de leur fils neuf jours plus tard

Madeleine Jean Mercier et Denis Mercier dénoncent le fait qu'ils n'aient été informés de la disparition de leur fils que neuf jours plus tard.

Un peu plus et ils apprenaient la disparition de leur fils dans les médias. C’est ce qui est arrivé à un couple de Shawinigan-Sud qui n’a su que neuf jours plus tard que leur fils, qui vit avec des problèmes de santé mentale, n’était toujours pas rentré à la résidence supervisée où il doit coucher tous les soirs le temps de reprendre sa vie en main.