Il s’agit de lutte libre, à ne pas confondre avec la lutte gréco-romaine, qui proscrit l’usage des jambes. (LA VOIX DE L’EST, STÉPHANE CHAMPAGNE/LA VOIX DE L’EST, STÉPHANE CHAMPAGNE)
Quand il n’étudie pas en génie civil au cégep, Émile Forgues s’entraîne de huit à dix fois par semaine. Et trois de ces séances ont lieu à la palestre de l’école secondaire Paul-Germain-Ostiguy, à Saint-Césaire, habitat naturel du club de lutte olympique des Patriotes.