Adolescente, quand on entend ces chansons, on comprend inconsciemment que l’amour, le grand amour, est censé nous faire mal. C’est censé nous prendre aux tripes et être si fort que s’il venait qu’à s’éteindre, on n’y survivrait pas. (123RF/123RF)
CHRONIQUE / La station de radio jouait ce vieux tube de The Human League des années 1980 : Don’t you want me. Une chanson que je connais par coeur tant je l’ai entendue et que je chante à tue-tête quand je suis seule dans ma voiture. Ou dans la douche. Ou en bobettes dans mon salon.