
Les «éditeurs prédateurs» misent à la fois sur le besoin d’être publiés des universitaires, mais aussi sur leur désir d’être reconnus par leurs pairs.
Gare aux «éditeurs prédateurs»: grandes promesses, grandes déceptions
Publier gratuitement le fruit de mois, voire d’années de recherche, et obtenir un rayonnement international? C’est ce que proposent plusieurs maisons d’éditions en ligne basées en Europe de l’Est à des universitaires qu’ils sollicitent par courriel. Un stratagème qui fait peu de victimes, mais qui peut leur nuire beaucoup plus que les aider.