
Les défendeurs ont en effet prouvé que Daniel Vandal agissait au nom de son père Robert, qui a lui-même été déclaré plaideur quérulent à de nombreuses reprises dans le passé.
Plaideur quérulent de père en fils
Parce qu’il agissait à titre de prête-nom pour son père étiqueté plaideur quérulent, un résident de Sainte-Cécile-de-Milton s’est également vu interdire le droit d’entreprendre de nouvelles procédures judiciaires sans autorisation, a tranché le juge Gaétan Dumas, de la Cour supérieure du Québec.