Journée d'action contre la violence sexuelle: «laisser faire, c’est être complice»

Devant le nouveau centre Notre-Dame, un matelas sur lequel des témoignages d’agression sexuelles ont été écrits au cours de la journée.

Entendre une femme se faire siffler dans la rue, ou lire un commentaire sexiste sur Facebook sont des exemples de situations devant lesquelles chacun de nous a un rôle à jouer dans la lutte aux violences sexuelles. La Coalition des groupes de femmes de la Haute-Yamaska et Brome-Missisquoi encourage la population à intervenir davantage, à l’occasion de la Journée d’action contre la violence sexuelle faite aux femmes et de la traditionnelle marche qui l’a clôturée, vendredi soir.