
Instigateur de la lutte au nerprun bourdaine au CINLB depuis 2014, René Marois est fier du chemin parcouru. « On voit que les résultats sont bons parce que les autres espèces végétales, celles qu’on devrait normalement retrouver dans des milieux forestiers comme ici, recommencent à pousser. (...) C’est encourageant. »