Chronique|

La DPJ n’a pas toujours raison

CHRONIQUE / Au cours des prochains mois, la Commission spéciale d’enquête sur la protection de la jeunesse sillonnera les régions du Québec pour faire le portrait le plus juste possible de tout ce qui touche les services à l’enfance. Le but avoué, éviter que le système «l’échappe» comme il l’a fait à Granby, où une fillette de sept ans est morte le 30 avril dernier. Le Soleil poursuit aujourd’hui une série sur la DPJ afin de tenter d’en comprendre les différents rouages. Et les ratés. (2e de 4)