«Notre clientèle a augmenté de 37 % ces trois dernières années, fait valoir Jean-Yves Matton, directeur du CRIF. Certains jours, nos élèves et nos employés n'ont plus de places où stationner. Ils laissent leur automobile dans la rue ou stationnent dans la cour du Couche-Tard. Ça cause des désagréments.»
Aussi, fait remarquer M. Matton, le CRIF loue des locaux au cégep de Granby Haute-Yamaska pour offrir des cours d'électrotechnique. Cela augmente la demande pour des places de stationnement.
L'agrandissement du stationnement est la seule voie possible, pense M. Matton. Les autres options ne viendront pas à bout du problème, estime-t-il.
La direction, insiste le directeur du CRIF, incite déjà les élèves et le personnel à recourir au covoiturage ou à prendre le transport collectif. Plusieurs utilisent ces systèmes pour venir au CRIF, note-t-il. Mais ces systèmes ont leurs limites, signale M. Matton, surtout le transport en commun. L'horaire des cours et celui des autobus ne concordent pas. Pas de problème en matinée lorsqu'un autobus arrive quelques minutes avant le début des cours à 8 h. Mais le reste de la journée, cette option n'est plus valide pour les élèves.
Les détails dans l'édition de vendredi.
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