«Et l'exemple de ce qui s'est passé au CSSS de la Haute-Yamaska est encore plus éloquent puisqu'il est survenu dans une salle d'urgence flambant neuve, soulève Gérard Deltell. On a investi dans le béton, et c'est une très bonne chose, je l'admets, mais on n'a pas mis les effectifs nécessaires pour faire le travail.»
«À notre avis, c'est l'organisation du travail qui fait défaut au sein de notre système, dit-il. Les gestionnaires doivent s'arracher les cheveux et couper les sous en quatre pour maintenir les services. En payant les établissements de santé à l'acte, ça permettrait d'assurer que les services seront livrés et que le personnel sera là en quantité suffisante pour les assurer. Il faut cesser de mettre de l'argent dans les structures et plus dans les services directs.»
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