Des révélations troublantes

La victime, Alain Bernard, avait été retrouvée morte dans sa maison de la rue Noiseux à Granby en 1987.

L'enquête préliminaire des trois hommes accusés du meurtre de l'homme d'affaires granbyen Alain Bernard, tué par balle dans sa demeure en 1987, a donné lieu hier à des révélations troublantes et compromettantes.


Deux policiers et une ancienne flamme d'un des prévenus ont témoigné en cour au début de ces audiences, qui visent à juger de la valeur de la preuve amassée par la poursuite.

 



En réaction à certaines réponses de son ex-petite amie, l'accusé Anthony Tristan Bernard, 42 ans, le fils de la victime qui au moment du crime s'appelait Chantal avant de changer de sexe faisait non de la tête en prenant des notes.

Son avocat, Me Patrick Fréchette, a d'ailleurs vigoureusement contre-interrogé ce témoin, mettant en doute sa crédibilité et la véracité de ses affirmations. Comme c'est habituellement le cas lors d'une enquête préliminaire, le contenu de ce qui s'est dit est toutefois frappé d'une ordonnance de non-publication.

Texte complet dans notre édition de mercredi



 

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