En ce 8 mars, Journée internationale de la femme, la Sheffordoise de 74 ans a accepté de nous raconter un pan de son histoire personnelle et sa vision de la profession.
«À l'époque, les femmes entraient en religion, se mariaient ou restaient vieilles filles. C'était avant la pilule, avant la libération, avant que les femmes prennent leur vie en main. On disait même que les femmes allaient à l'université pour se trouver un mari professionnel. Quand j'ai dit que je voulais devenir médecin, mon entourage n'y croyait pas.»
C'était bien mal la connaître. Inspirée par son parrain médecin, son modèle, elle a été acceptée à l'université d'Ottawa non sans avoir d'abord essuyé deux refus d'universités francophones.
Texte complet dans notre édition de lundi
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