Ils qualifient le procès de «coup monté» et en attribuent l'origine à une poignée d'ex-employées qui auraient voulu se venger de l'expropriétaire de la résidence du Verger parce qu'elles ont été congédiées.«Il y a anguille sous roche», a subodoré le beau-frère de l'accusé, Gérard Provencher, à sa sortie du prétoire. «Quand tu n'es pas coupable, tu ne t'attends pas à une sentence», a dit un autre proche ayant requis l'anonymat.M. Decamps est aussi complètement «défait» d'avoir eu à subir un procès, a dit son amie Michèle Bachand. «À 65 ans, on ne souhaite pas ça à personne.»«Mais ça aurait pu être pire», dit Mme Bachand à propos de l'amende de 1000 $ imposée à l'accusé.Ils remettent aussi le procès en question. M. Provencher se demande pourquoi, par exemple, le profil psychologique de la victime n'a pas été évalué et pourquoi tant d'autres résidants ne s'étaient jamais plaint et n'avaient que d'éloges pour M. Decamps.Il reconnaît toutefois que le juge a «agi selon les règles» et qu'il a «bien tranché».
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